des forces du plus-que-présent

J’ai déjà identifié des portes et je dois encore essayer de fabriquer des cartes. Je n’ai pas encore essayé. J’ai découvert autre chose, les forces du plus-que-présent, ces interactions entre le temps et l’espace, toutes différentes qui dessinent ce nouvel univers – anticipation, conservation, lâcher-prise, engagement – en sont une première liste à compléter.

  • Parly II comme espace marchand, la force du passé et du lointain comme pilier du présent (conservation+engagement).
  • le film War Games, l’anticipation comme une force de sustentation qui oscille entre projet et fatalité. (anticipation)
  • à Sidi Bou Saïd, j’ai vu aussi que la conservation du lieu et du temps d’un espace/temps a des vertus dynamiques positives, contemplatives. (conservation)
  • l’ivresse du Hammam, cette expérience où l’on engage son corps en le laissant à la merci des autres force le lâcher prise, vecteur du plus-que-présent. (lâcher-prise + engagement)
  • le vin, là j’ai identifié une belle porte du plus-que-présent. Il y a en lui toutes les portes ; les mots sont des vecteurs, mais je pense que le vin aussi est un vecteur du plus-que-présent. C’est encore complexe de comprendre ce qui se joue, c’est probablement un symbole qui sublime toutes les forces.
  • plusieurs moments importants en juin qui sont des terrains de jeu des forces du plus-que-présent.
    • Les incidents de Luc Bénazet, un recueil qui exprime bien la limite « théorique » entre l’indicible et le dit – entre le vécu et le à vivre.
    • L’arboretum de Versailles, c’est un lieu étrange qui est ici et là-bas en même temps – un peu tôt pour le comprendre je pense
  • des instants, toujours étonnants dès lors qu’on sait les saisir.